Découvrez ma chronique du premier roman de Jean-Pol Hecq pour Le Carnet et les Instants, la revue des lettres belges francophones.
- Coup de coeur -
En 1927, Max s’installe pour quelques temps dans une auberge située au centre de la ville de Mons. Journaliste hollandais maitrisant parfaitement la langue de Verhaeren, il prétend faire un reportage sur la reconstruction de l’après-guerre pour en fait enquêter discrètement sur un certain Georges, un cousin éloigné. Aidé dans ses recherches par un Borain de souche, Max progressera lentement : difficile en effet de trouver un Montois inconnu disparu en 1914 et portant ce prénom si répandu. Lire la suite...