En septembre 2015, Éric-Emmanuel Schmitt publiait La nuit de feuaux éditions Albin Michel. Il y racontait son expérience mystique à 28 ans dans le désert algérien. Pour la rentrée littéraire 2016, il poursuit l’exercice et prend le climat actuel d’attentats pour prétexte à une réflexion théologique plus poussée. Ou quand la philosophie devient populaire.
La vie n’a pas souvent souri à Augustin. Livré au difficile parcours des familles d’accueil, il est bien décidé à s’en sortir et vivre son rêve : devenir écrivain. Et c’est pour ça qu’il supporte les jérémiades de l’infâme Pégard. Ce rédacteur en chef de seconde zone est tellement auto-suffisant qu’il utilise le petit pouvoir qu’il détient pour humilier quiconque a la mauvaise idée de travailler pour son canard. Mais Augustin est prêt à supporter ça si ça lui permet de réaliser son rêve. Mais alors qu’il est envoyé en mission de terrain pour un article sans intérêt, il se retrouve malgré lui au centre d’un événement des plus dramatiques : un kamikaze se fait exploser à la sortie d’une messe d’enterrement. (lire la suite)
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Entre philosophie et religion : ou comment débattre sur la folie humaine
En septembre 2015, Éric-Emmanuel Schmitt publiait La nuit de feu aux éditions Albin Michel. Il y racontait son expérience mystique à 28 ans dans le désert algérien. Pour la rentrée littérai...
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